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    Richard Casado-Haloin est né  à Salon- de -Provence dans les Bouches du Rhône. A ce jour il réside à St Chamas, lieu de l'atelier ordinaire, dans le même département. Sa formation est celle d'un plasticien des Beaux-Arts. Il intègre l'école d'Art de Marseille Luminy pour un cycle complet de formation le menant au DNSEP.                                               Sa pratique ayant conduit son expérience, une thèse de doctorat à été produite en 2017 sous la direction de Michel Guérin. 

                                                                                       Son exercice artistique est celui d'un peintre  ancré à un médium. A l'exception des périodes d'enseignements et le temps pour les expositions ( dernière grande exposition personnelle en 2009-10 chez Mona-Lisa, rue de Varenne, Paris), il se consacre exclusivement à son travail d'atelier qui se traduit par une technicité insaisissable, sur le fond, du métier de peintre.                                                             

Soutenance 2017 en salle de colloque de l'université de Provence

    Les cadres reforment les supports de l'exercice et questionnent aussi la déposition des couleurs pour rendre à l'image une efficacité nouvelle. Les derniers travaux ne recherchent plus la fragmentation volumétrique des plans mais  l'introduction des géométries coniques car elles modifient la figure.  Cependant le travail de fond reste le même, il forme une suite plastique claire et respecte un mot d'ordre: " Difficilement il quitte ce qui proche de l'origine a site" (Hölderlin).  Il semble inutile d'aller plus avant sur la notion de démarche  ( voir les écrits), ce sont là des questions de culture du "regardeur". Evidemment,  la "grundstimmung" en cause (voir écrit poétique) modélise une plasticité atypique qui dessine une originalité propre, un tel dessin  demeure très particulier  dans l'histoire de l'art, la question posée est celle du nouveau.                                                   

     Le tableau s’exécute  comme une tête de Janus, recto et verso, visible par diaphanéité et sa composition se fait "en aveugle".  Le subjectile n'arrête pas la lumière (voir les pages "détails") et le contre-jour forme, ainsi, un négatif.  L'abandon de la planéité est acté dans les travaux récents. Le peintre cherche  par cette méthode à retrouver la pleine dimension auratique d'un médium qu'aucune photo ne peut saisir dans les faits.

    De l' « Appropriation Art » au metaxu diaphane actuel, la recherche  générale propose une esthétique qui ne s'appuie pas sur une "image de la peinture". Sans  compromission avec les objectifs de l'officialité et  loin d'un mainstream  plus général, le travail se veut authentique et simple d'accès (une approche de la couleur et des plans), à la recherche d'une plasticité moderne de la peinture.

Soutenance Novembre 2017, de face, Christine Buignet, Pierre Baumann, de dos, Max Charvolen, Eric Bonnet.

Soutenance Novembre 2017, conversation avec Michel Guérin.

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Exposition Large Persée, Juin 2021, Musée Lafran, St Chamas.

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Richard Casado-Haloin was born in 1968 in Salon of - Provence in Bouches du Rhône. To date he lives in St Chamas (workshop) in the same department. His formation is the one of a plastics technician of the Fine arts. He integrates the school of Art of Marseille Luminy for a complete cycle of formation, leading him to the DNSEP. This artistic exercise is that of a painter anchored in its medium. With the exception of the periods of education and the time dedicated to the exhibitions (last personal exhibition in 2009-10 at Mona-Lisa, street of Varenne, Paris), he dedicates itself exclusively to his work of workshop which is translated by an real professional skill, in fact, of painter's profession. Abandoning the heraldic codes today, he re-forms the question of the canvas by the explosion of the sizes and create again, strangely, the testimony of colours to return to the image a new efficiency. These last works are not any more centred on the volumetric fragmentation of the flate plane but on the introduction of the complex geometries which concentrate the figure. he picture have two side, first side and the reverse, visible by transparency. For it still, the flate plane are abandoned in the works recent (considering that " the plan is transformed in screen "). He so tries to find the full "auratique" dimension of a picture which no photo can take in the facts. Of the " appropriation Art " debuts at the current translucent metaxu, its search proposes an unprecedented aesthetics in the contemporary field, far from the official art and from the more general mainstream. its work wants to be authentic and in search of one modern plasticity of the painting.

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